Depuis cet après-midi 24 novembre, à l’initiative du collectif des travailleurs sans-papiers d’Orléans et de la CGT, les sans-papiers occupent plusieurs agences d’intérim à Orléans.
Cela démontre que les sans-papiers sont résolus à défendre des droits qu’une économie mondialisée leur dénie.
L’exploitation d’une main-d’œuvre précarisée et fragilisée de sans-papiers est rendue possible par un gouvernement hypocrite et raciste, qui incite les patrons à transiger avec le droit du travail et à accuser l’immigration d’être à l’origine de la crise pour éviter d’en désigner les véritables responsables : les capitalistes.
La solidarité du NPA est entière au combat des sans-papiers, il faut pour construire la mobilisation unitaire la plus large possible contre la politique indigne du pouvoir.
Dans les syndicats, les associations, à gauche, il faut développer le soutien le plus large, faire comprendre que « leur » lutte est notre lutte « à tous ».
Notre solidarité de classe sera décisive pour stopper cette politique de la honte.A Orléans les sans-papiers occupent plusieurs agences d’intérim
Depuis cette après-midi 24 novembre, à l’initiative du collectif des travailleurs sans-papiers d’Orléans et de la CGT, les sans-papiers occupent plusieurs agences d’intérim à Orléans.
Cela démontre que les sans-papiers sont résolus à défendre des droits qu’une économie mondialisée leur dénie.
L’exploitation d’une main-d’œuvre précarisée et fragilisée de sans-papiers est rendue possible par un gouvernement hypocrite et raciste, qui incite les patrons à transiger avec le droit du travail et à accuser l’immigration d’être à l’origine de la crise pour éviter d’en désigner les véritables responsables : les capitalistes.
La solidarité du NPA est entière au combat des sans-papiers, il faut pour construire la mobilisation unitaire la plus large possible contre la politique indigne du pouvoir.
Dans les syndicats, les associations, à gauche, il faut développer le soutien le plus large, faire comprendre que « leur » lutte est notre lutte « à tous ».
Notre solidarité de classe sera décisive pour stopper cette politique de la honte.